L’article commence par rappeler l’importance des actions concrètes en matière de transition écologique, soulignant que les discours sans suite ne sont plus suffisants. Il introduit ensuite un retour dans le temps en Norvège en 1990, lors d’une des premières conférences mondiales pour le climat à Bergen.
Ensuite, l’article met en lumière le traitement minimal et sceptique réservé par Le Monde aux premières questions environnementales, notamment au premier rapport sur les limites de la croissance publié en 1972, connu comme le « rapport Meadows ». Il explique que le journal n’a pas accordé une grande importance à ces sujets, centré principalement sur les questions diplomatiques et politiques intérieures.
Le texte se concentre ensuite sur Marc Ambroise-Rendu, l’un des pionniers de la couverture environnementale au journal. Il décrit la liberté et la solitude qu’il ressentait dans sa mission, rappelant comment il était percuté par les enjeux environnementaux à une époque où la France se développait rapidement avec des autoroutes et des usines. Le texte souligne les difficultés qu’il a rencontrées pour imposer ces sujets dans la rédaction, ainsi que le travail de son successeur Roger Cans.
En conclusion, l’article met en lumière le long chemin parcouru par Le Monde en matière de couverture écologique, mettant en avant les défis et les résistances rencontrés par les journalistes spécialisés dans ce domaine.
Enfin, il est souligné que la suite de l’article est réservée aux abonnés, incitant le lecteur à considérer la souscription pour accéder à l’intégralité de la publication.
pour en savoir plus : La longue bataille du climat dans les pages du « Monde »