Justice pour le vivant poursuivra ses efforts pour contraindre l’État à assumer ses obligations.

Le 2 juillet, les ONG du collectif Justice pour le vivant, telles que Notre Affaire à tous, Pollinis, l’Association nationale de la protection des eaux et rivières, l’Association pour la protection des animaux sauvages et Biodiversité sous nos pieds, ont publié une déclaration conjointe. Dans cette déclaration, elles ont exprimé leur préoccupation quant à l’absence de réponse du gouvernement face à la lutte contre les pesticides.

En effet, le 29 juin 2023, le tribunal administratif de Paris a condamné le gouvernement à prendre des mesures nécessaires pour réduire l’usage des pesticides en France et protéger les eaux souterraines du pays d’ici au 30 juin 2024. Cependant, le collectif a constaté que le gouvernement a modifié l’indicateur principal du plan Écophyto 2030, abandonnant ainsi les ambitions de réduction des plans antérieurs auxquels il avait été condamné à respecter.

De plus, les ONG ont souligné que le gouvernement n’a rien fait en ce qui concerne la question de l’eau. Face à cette situation, l’État et les associations ont décidé de faire appel de la décision, mais celle-ci doit tout de même être appliquée.

Cette affaire met en lumière l’importance de la transition écologique et de la protection de la biodiversité. Il est essentiel de prendre des mesures concrètes pour réduire l’utilisation des pesticides et protéger les ressources en eau. Les citoyens et les organisations environnementales continuent de mobiliser pour que les engagements pris par le gouvernement soient respectés.

Il est crucial que les autorités prennent leurs responsabilités et agissent en faveur de la préservation de l’environnement. La lutte contre les pesticides et la protection de la biodiversité doivent être des priorités pour assurer un avenir durable pour les générations futures.

pour en savoir plus : « Justice pour le vivant continuera son action pour obliger l’État à prendre ses responsabilités »