Après la destruction causée par l’ouragan Beryl, les demandes de justice climatique augmentent dans les Caraïbes.

L’ouragan Beryl a dévasté plusieurs îles des Caraïbes, semant la désolation et faisant des victimes. Après avoir touché l’archipel des Grenadines, la Jamaïque, les îles Caïmans et le Yucatan, le cyclone s’est dirigé vers le golfe du Mexique.

Des vents violents ont causé des dégâts importants, avec onze victimes confirmées et plusieurs personnes portées disparues. Les pays touchés, comme Saint-Vincent-et-les-Grenadines et la Grenade, sont en pleine phase de reconstruction, confrontés à des pertes considérables.

Les dirigeants des pays caribéens ont dénoncé l’injustice climatique, soulignant qu’ils ne sont pas responsables du réchauffement climatique mais qu’ils en subissent les conséquences. Ils ont appelé à des actions rapides pour atteindre la neutralité carbone et à des changements dans la politique économique mondiale.

Les images de la dévastation sont bouleversantes, avec des îles entières détruites par des vents destructeurs. Les Nations unies ont qualifié la situation de catastrophique, soulignant l’urgence d’une réponse internationale coordonnée.

Cet article met en lumière la vulnérabilité des petits États insulaires face aux phénomènes climatiques extrêmes et appelle à une solidarité mondiale pour faire face aux défis de la transition écologique.

pour en savoir plus : Après les ravages de l’ouragan Beryl, les appels à la justice climatique se multiplient dans les Caraïbes